Pour ou contre les vaccins?
La vaccination, quelque soit le type, est une science inséparable de la médecine qui consiste à introduire un agent extérieur, soit des antigènes, dans un organisme vivant afin de créer des réactions immunitaires pour protéger celui-ci des maladies infectieuses. Avec la technologie actuelle, les scientifiques font des recherches pour trouver et fabriquer de nouveaux vaccins pour contrer des maladies plus complexes et dangereuses afin de mettre les produits sur le marché. Bien que beaucoup gens pensent que les vaccins peuvent les protéger des maladies, renforcer leur système immunitaire, etc. certains pensent le contraire. De nos jours, les vaccins ne servent plus uniquement à protéger les gens des maladies. Il faut voir ce sujet de plusieurs points de vue comme l’aspect de la santé, l’aspect de l’économie ainsi que l’aspect éthique.
D’abord, la vaccination est un moyen de prévention et non de guérison. Son but est de pouvoir prévenir le corps afin de renforcer son système immunitaire. Donc, sur le niveau de la santé, de la première perspective, c’est très aidant pour les gens. Plusieurs sortes de vaccins s’y trouvent, certains depuis longtemps et certains plus récents. Il ne reste du fait que certains vaccins sont considérés comme obligatoires. Par exemple, ici, au Québec, les gens ont tous un carnet de vaccination qui indique à telle âge, il faut se faire vacciner. Ce n’est pas pour rien que c’est une obligation : On veut protéger et prévenir les organismes des maladies nocifs comme le tétanos ou l’hépatite B. Par contre, il y a toujours une double face au sujet. Au niveau de la santé, il y a quand même des risques. C’est quand une injection de quelque chose d’inconnu dans un corps. Donc, il se peut qu’il se créer des complications. C’est sûr que la fièvre, les douleurs, etc. sont des symptômes de la vaccination, mais ils sont considérés comme des réactions plutôt locaux. Prenons le cas de la femme en ceinte. C’est sûr qu’une femme en ceinte aura plus de risque de développer des complications si elle attrape une grippe.
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(french) La crise ayant perdu r durant la p riode surn omm e par la Commission conomique pour l Am rique latine des Nations Unies (CEPA L) comme tant la d cennie perdue + (1980-1990) a impose la recherche de nouvelles politiques. l int gration latino-am ricaine est appa rue comme une recette + permettant de surmounter des obstacles tels que l troitesse des march s nationaux, la pression ext rieur ...
Les gens pensent que les femmes enceintes devraient de faire vacciner. Selon femmesensanté.ca, dans les 11 études faites, près de 7000 femmes enceintes de sont faites vacciner. Aucune des études n’avait découvert de risques associés au vaccin, ni pour les femmes enceintes ni pour leurs bébés. Les chercheurs ont donc conclu que les femmes enceintes pouvaient être vaccinées sans danger contre la grippe durant n’importe quel trimestre de leur grossesse. Par contre, ces femmes ont toujours plus de risques en considérant leurs fétus et leur propre santé. Si on regarde les vaccins moins obligatoires comme les vaccins contre la grippe, on va s’apercevoir que c’est quand même très important. Les épidémies saisonnières peuvent entraîner jusqu’à 500 000 décès par an et ce, on estime que la vaccination peut réduire de 90% le cas de grippe chez les adultes en bonne santé.1
Ensuite, sur le plan économique, la vaccination est un avantage. En effet, en 1998, sur un budget total de 83,9 milliards $, consacré à l’ensemble des maladies, une somme de 6,8 milliards $ a été affectée aux frais médicaux (services hospitaliers, médicaux, pharmaceutiques) directement associés à cette catégorie d’affections. Le coût des maladies infectieuses, qui sont dans certains cas transmissibles, est à 909 millions $. Selon l’Agence de santé publique du Canada, les coûts totaux évités s’élèvent à 10,98 millions $. Ce chiffre représente les dépenses engagées au cours de la première année de la maladie ainsi que les coûts ultérieurs qu’auraient entraînés les cas qui, seraient survenus en l’absence de programmes de vaccination. Sans un programme universel de vaccination, les maladies les plus coûteuses auraient été la diphtérie (plus de 4 millions $) et la coqueluche (plus de 3 millions $).2 Par contre, le désavantage de la vaccination est que cela va agrandir l’écart entre les riches et les pauvres. Les pays développés peuvent se prévenir et prendre les vaccins alors que les pays en développement n’ont pas le budget de faire cela. En fait, actuellement, les quatre vaccins de base recommandés par l’Organisation mondiale de la santé atteignent pratiquement les trois quarts des enfants du monde et préviennent 2 millions de morts par an.
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KOPP Florence Promo 2004 ESCE RAPPORT DE STAGE 1'ere Ann " ee Sparkasse Saarbr " ucken Firmenkundensekreteriat Stage du 9 juillet au 31 ao^ut 2001 Neumarkt 17 Dur " ee 2 mois 66117 Saarbr " ucken Remerciements Je tiens tout d'abord 'a re mercier la Sparkasse Saarbr " ucken et son 'equipe de m'avoir permis de r'ealiser ma v'eritable premi " ere exp " erience professionnelle dans leur entreprise et ...
Il faut que ces immunisations atteignent le reste des enfants pour que les pays puissent atteindre la cible ambitieuse définie par l’objectif du Millénaire pour le développement: réduire la mortalité juvénile de deux tiers en 2015. Le problème est qu’Il nous faut un grand budget pour faire cela. De puis les dernières années, les coûts d’immunisation sont en hausse. Fournir ces quatre vaccins de base coûte à peu près 20 dollars US par enfant totalement immunisé. 3 De plus, de nombreux pays introduisent maintenant trois vaccins plus récents et sous-utilisés (hépatite b, haemophilus influenzae type b, et fièvre jaune), qui pourraient
1 America.gouv
2L’Agence de santé publique du Canada
3Sabin Vaccine Institute
potentiellement sauver 1 million de vies de plus par an. Cependant, ces vaccins
supplémentaires augmenteront le coût qui sera alors de 40 à 50 dollars US par enfant. L’ajout des vaccins rotavirus, antipneumococcique et papillomavirus humain réduirait encore davantage la mortalité mais contribuerait à l’augmentation des coûts.
Puis, sur le plan éthique, la vaccination est un gros avantage puisqu’il permet d’enrayer complètement les maladies. Selon l’Agence de santé publique du Canada, la poliomyélite analytique a été complètement enrayée grâce au vaccin contre cette maladie en Europe. De plus, les vaccins permettent de soulager les gens. Par exemple, avant l’arrivée du vaccin contre le tétanos, chaque coupure éveillait la peur de la maladie. Les adultes se rappelleront la vigueur avec laquelle chaque écorchure d’enfant était désinfectée pour enrayer la menace de cette maladie. Par contre, dans notre société actuelle, ce n’est pas toujours le cas. Des fois, les vaccins créent l’effet contraire. Par exemple, il y a quelques années, il y a eu un tremblement de terre à Cobée au Japon et il y a eu une couverture vaccination à 98% de la population. L’eau potable a été coupée, les conditions sanitaires ont été épouvantables et, 5 jours plus tard, les maladies infectieuses ont été partout dans la ville de Cobée. Pourtant, la population a été vaccinée à 98%. Par contre, les vaccins en général sont plutôt avantageux sur le plan éthique car ils sont par respect pour les générations futures. On s’assure qu’on ne va pas contaminer les autres.
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Anthropologie Culturelle Les Amish Anthropologie Culturelle Essay, Research Paper Les Amish: une communaut? hors du temp I) LES ORIGINES DES AMISH On trouve les racine's des Amish dans la communaut? des Mennonites. Les deux appartiennent au mouvement des Anabaptistes qui remonte? l? ? pique de la R? forme. Les Anabaptistes croyaient que seul les adultes devaient? tre baptis? s car ils avaient ...
Mais, à quoi sert toute notre science si des millions d’enfants meurent encore faute de vaccins, alors que les vaccins qui les protégeraient existent ? Les maladies infectieuses provoquent 16 millions de morts par an dans les pays en développement. Parmi eux, 5 millions d’enfants, dont la moitié pourrait être sauvée, soit 8 000 enfants chaque jour, s’ils étaient vaccinés. Aujourd’hui, la rougeole tue encore près de 700 000 enfants par an, bien que le vaccin existe et ne coûte que quelques centimes. De plus, si on prend le vaccin contre le VPH comme exemple. Certaines jeunes filles de 10-11 ans se font vacciner, ce qui n’est pas toujours éthique selon certains. La fille de 10 ans ne va pas avoir des rapports sexuels, donc certaines familles pourraient être contre cela. Certaines personnes sont contre le vaccin contre la H1N1. Par contre, les autorités pensent qu’il sera trop tard quand les gens vont attraper la maladie. Au contraire, on peut dire que cette grippe est une pandémie médiatique, ce qui n’est pas du tout éthique.
Enfin, la vaccination, selon moi et plusieurs autres personnes, apporte bien plus d’avantages que de désavantages. C’est vrai qu’il y a des réactions locales et quelques cas spéciaux, mais vu d’ensemble, les vaccins sont là pour aider l’humanité à mieux s’immuniser. Ça fait avancer la science, la médecine, les recherches, etc. Ce que je trouve moins plausible est le fait que les gens tentent de créer une pandémie médiatique, comme la H1N1, ce qui cause la peur, l’incertitude et même le refus de se faire vacciner. Par contre, il vaut mieux tout de même se faire vacciner avant quoi qu’il arrive. C’est le but de ce sujet.
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Cartier, Jaques Navigatuer fran ais, Jaques Cartier est re connu comme le d couvreur europ en du St-Laurent. N en 1491 St-Malo t, Bretagne, Cartier fit trois voyages en am rique du nord entre 1534 et 1542 o il fit son dernier voyage en Nouvelle France en 1541-42 en qu te de m tal pr cie u et trouva soit-distant de l+or qui n+ tait que de l+or de sous, il fut quit de son poste apr s cette v n ement ...