Dans son uv re Moderato Cantabile, Marguerite Duras utilise “l’art de la suggestion.” Elle exprime beaucoup en trs peu de mots. Son cri ture est subtile et on doit ddu ire tous ce qui se passe et tous ce que les personages pendent. Duras emploi e des phrases trs courses pour donner une sorte d’urgence son rc it. Ses phrases sont simples et ils disent trs peu sur la surface. On doit examiner chaque mot et chaque phrase attentive ment pour trouver les buts de ce texte.
Un de ces buts qui est intressant est le besoin d’Anne d’avoir de la passion dans sa vie. Ce besoin su scite son obsession du meurtre et tous ce qu ” elle fait cause de cette obsession. Elle trouve que sa vie est ordina ire, et elle veut replacer cette banal it avec la passion. L’histoire commence avec un meurtre dans le caf qui est simple lucider: un homme tue sa matresse dans un meurtre passion nel.
Cette lucida tion n’est pas celle qui in tress Anne. Ds le cri de la femme tue, et l’arrt brutal de ce cri, Anne s’interroge sur le meurtre. Le cri celui d’une femme qui submit la violence d’un crime. Avant que la police false l’arrestation de l’assassin, il est in diffrent tout le monde. L’amant tueur a des poses amoureuse prs du corps de sa matresse et il basse la bouche de la femme dont le sang coule.
The Essay on Le Fusil Son Mari
L'histoire "Le fusil" est decrit d'un point de vue exte rieur. Il decrit la vie d'un couple qui ont un "grand amour use par les an nees." La femme dans l'histoire est tres belle, elle est decrit comme une "femme-fleur." Elle est tres devotee a son mari et n'a presque jamais des pensees egoiste. C'est montre quand elle de passe ses desirs personel du bracelet pour acheter les tranches de jamb on, ...
C’est vraiment une scne d’amour qu ” Anne regard et il vogue Anne la passion amoureuse. travers des questions Chauvin, Anne cherche lucider non pas le meurtre mais la passion amoureuse; une passion qui est si forte qui peut amener l’amant faire ce crime. Peu peu, il n’est pas question du meurtre, mais de quelque chose qu ” ils ne disent pas et qui n’est jamais d fini et qui se develope dans la relation entre Chauvin et Anne. Ils developement un dsir sexuel l’un pour l’autre et peut-tre un dsir pour une sorte de jouissance et une sorte de perte de soi-mme. Quand mme, cette jouissance lui fait peur mm si elle veut la connate.
La jouissance est peut-tre comme l’ivresse de la consommation rate et inhabituelle de vin rouge. A travers l’ivresse, Anne peut pres sentir le plaisir et la perte de soi-mme. C’est comme si elle avait l’ide que l’acte sexuel et l’acte de mou rir des mains de son amant talent en essence la mme chose. Les questions et des rponses ne sont plus assez et Anne demande Chauvin donner l’vidence de la vie du couple un peut comme s’il tait l’amant.
Elle finit par amener Chauvin, vis — vis d’elle, dans la mme disposition: passer l’acte. On peut poser la question: de quel acte On peut le voir quand Chauvin dit, “Je voudrais que vous soyez morte,” et Anne r pond, “C’est fait” (p. 123).
Anne est, vis vis de Chauvin qui se confound de plus en plus avec l’amant tueur, dans la mme place de la vic time, comme si elle tait une proie sexuel le pour un homme. elle est hypnotism par le mystre du dsir de l’homme et par celui du dsir de la femme. Elle est dans une peur hypnotique de ce que les deux dsir, quand ils s’accordent, ont de dangereux comme la mort.
Enfin, le mystre de la jouissement lui fait peur. Seulement l’ivresse par le vin rouge lui permet peu peu d’en concevoir l’ide et la fin y renouncer. Chauvin de autour de la maison d’Anne; elle est conscience de sa presence et elle sait pourquoi il est l. Elle est la raison pour cette approche et cette at tente, et elle est la proie d’un homme qui dsir d’elle. C’est un dsir trs animal, et trs instinctual d’un homme et peut tre ce dsir est devenu l’instinct de meurtre. L’ivresse du vin dsinhibe et elle resemble la jouissance qui lui fait peur.
The Research paper on Les Amish Des Est Leur
Anthropologie Culturelle Les Amish Anthropologie Culturelle Essay, Research Paper Les Amish: une communaut? hors du temp I) LES ORIGINES DES AMISH On trouve les racine's des Amish dans la communaut? des Mennonites. Les deux appartiennent au mouvement des Anabaptistes qui remonte? l? ? pique de la R? forme. Les Anabaptistes croyaient que seul les adultes devaient? tre baptis? s car ils avaient ...
Anne finit par dtruire la fleur mise entre ses seins que Chauvin avait situ le sens mtaphorique dans son instinct masculine. Elle re nonce au dsir de l’homme et la jouissance, comme une dfa ite mort elle et donc impossible. Les mains qui touch ent sont comme des l vres qui embrasse le len demain et ils sont ceux des entres m orts. Au d but du roman, l’assassin “embrasse, caresse, et s’allonge” contre le corps de sa matresse qu ” il a tue. A la fin du roman, Anne et Chauvin sont deux tres dn us de dsir et de vie qui se caresse. Au commencement de ce livre, on compr end que la vie d’Anne est scne et qu ” elle a vcu longtemps sans vrai e interaction humaine et sans passion.
C’tait la passion de la premise scne avec la femme assassin qui l’avait attire et qui sert d’un miro ir son me. Anne cherche l’vidence qui lui trouve qu ” elle est vivante, et ce qui est triste est qu ” elle ne la trouve pas la fin mais elle trouve plut t le dsespoir. L’amour dans cette histoire est phm re et, quand on le trouve,.